Page:Suarès - Images de la grandeur.djvu/134

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Caauft II.

Non,

Je ne sait plu» >i j ai ;ouTicii I 'luitègt, en présence Je cet ou- trage ci, qui a lancé*

Sur le ciel te tonfflel de la boue.

CuacK I.

V. Je viens, portant les pleurs de toute la race. Dans l'amphore parfumée de ma poitrine,

Et les répandre, d Roi, A Reine, à «ot pieds sacrés.

Cbovh II.

Je viens pleurer les larmes de l'enceinte souillée,

La chair très uinte des femmes , où le peuple est ses

temple.

Et ne le» terse que pour tons, 6 Ménage Royal de la Caut-

irophe, couple infécond de la Lnmiirc. Titan n'est plus.

CaOEDK I.

VI. Que de pensées, hélas !

  • Que d'abtmes soudain creusés sous elles.

Et comme le soleil, l'espoir est deuendu dans le gouffre.

ÛKEOn II.

Que de pensées, 6 Terre !

Et quel adieu I toutes !.. Mère, toi, la seule robuste. Pourquoi supportes (u les attentats qui te bravent, faible comme nous? Athéna n'est plus

CiKiva I.

Ecoutez, feiBiae», à qui la nort teraii douce. Au prix de la vie .

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