Page:Suarès - Images de la grandeur.djvu/145

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

L'Olympe «ou» est ouvert : Rentrez dant let demeuret eéleitet, et tout y souriez. Je le défends : n'écoutez plut.

Prenez place k la table, où l'ambroisie et le nectar vous sont tervis par l'éternelle jeunesse, Ime de la faim.

Allez : — Et ne tournez pas la léte.

Je viendrai parmi vous, tout k l'heure,

Quand il n'y aura plus dans vos yeux que la flamme enivrante du présent, le rayon paisible de la joie immortelle. Que les Muses, ni même toi, Apollon, le plus aimé de "••• ^'v ""■■ "'ii n- '^mpe jusque là le silence que je détire.

Entrez dans la salle du festin,

Et ne craignez poio*. si une voix que vous redoutez, i cause de M puissance, bientôt frappe vot oreilles, comme les bonds de l'orage qui s'en va, et s'élève.

Ecoutez la sans terreur. Et qu'une allégresse profonde, ô Dieux attentifs,

Alors *out envahiue. >

IX. Et le Père, contemplant ton radieux Olympe, Zios, pareil au Ciel sur la Terre, Jour d'hier, qui a tout fécondé.

Jour de demain, qui plane dans l'espace, au dessus de la nuit. Murmura, plein d'une sérénité terrible :

��CHANT DE ZEUS

X. Que le chant de mon œuvre t'élève. Large comme l'Infini,

Large comme let épaulet du dieu qui charge le fardeau du vatte oniven, appétit de la nature, midi dans l'axe.

D'ici, tout les océans ensemble ne sont pas une goutte d'eau.

Et tous les mondes des étoiles qu'un flot de perles.

Et si j'y trempais met pieds, si je let en écratait, ilt n'en seraient

même pas mouillé*.

Touies les tempêtes de ces mers et d* ces «phèret, avec toutes

Ican clameurs.

��- .7Π-

�� �