Page:Suarès - Images de la grandeur.djvu/213

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fëponde.

��Le monde eti né de ion premier tomm Que ton dernier tommeil \o\i le lu du i- .■ Pour lei matire» dn monde,

O Vierge, tu *t coofu de moi!

De ton ventre »acré, maintenant que lu dort,

Je tire le dernier né det dieux, mon leietun tupréme,

Une fille comme tui,

Mtis dont U nuit première oc hnira jamais.

»

O Vierge, c'est ton Père, lui qui l'a fécondée, qui t'accouche.

Voici la Mort,

Qui naît de nous, faite de la subilaace, faite de ma volonté.

Intelligence, tu es donc accomplie?

Toi qui tues, et loi qui dois toujours lurr. .

Une terreur profonde est au fond de toute Pensée.

Il fallait bien qu'elle parût enfin i nos jreux : c'en est fait :

Jamais ils oe fuiront le spectacle qu'ils portent.

Cette Auguste, cette chère Epouvante.

O vue du désert glacé,

Qu'i là irrfpiir, Prtnr»r, Timbre profondeur de la paix

��Athèna, tu étais le vœu de ma puissante solitude : Mais la fille éternelle, qui te coûte, ce soir, la «le, était ton éternel souhait, — ^

Intelligence, la Mort était ton «cru.

Titan

XI. O Roi, mon cœur tremble d'une joie sombre. .

Ne m» trompes tu point' Et Athèna ne don elle pas P —

JifiTia.

Doutes tu? Non, Titan.

Vois U Mort qui surgit, tout armée de soa seia,

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