Page:Suarès - Sur la mort de mon frère.djvu/164

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temps de la douce Bretagne, quand la mer semble avoir gagné le ciel et porter les arbres. Mais pluviôse infini est venu. Maintenant, j’aspire au soleil comme au pays perdu, dans un exil que le désespoir sait éternel. Maintenant c’est la pluie, la triste pluie, à jamais la pluie.