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Page:Sue - Arthur, T2, 1845.djvu/123

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à m’expliquer son apparente confiance, en lui prêtant les arrière-pensées les plus misérables.

Alors ma colère revenait plus haineuse, et je m’applaudissais de nouveau de mon insolence.

Au milieu de ces hésitations, de ces anxiétés, de cette fièvre d’inquiétude et d’angoisse, je reçus le billet suivant de madame de Pënâfiel :

Je vous attendsvenezil le fautvenez à l’instant même

M.

Il était neuf heures, je me rendis aussitôt chez elle, presque fou de joie : elle demandait à me voir, je pouvais encore tout espérer.


CHAPITRE IX.

MARGUERITE.


.........................

Lorsque j’entrai chez madame de Pënâfiel, une chose me frappa du plus profond étonne-