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la bonne aventure.

ronne, tenant ouverte la portière de sa berline.

Madame de Robersac, changeant alors d’accent et de physionomie, dit tout haut, et de l’air le plus affable, à M. de Morsenne, qui l’aidait à monter :

— Mille grâces de votre obligeance, et à bientôt, cher prince.

M. de Morsenne salua respectueusement, et ne quitta le perron pour rentrer chez lui que lorsque la voiture se fut dirigée vers la grande porte de l’hôtel.

Pendant que le prince reconduisait, comme nous l’avons dit, madame de Robersac, le chevalier de Saint-Merry accompagnait chez elle la princesse ; s’arrêtant un instant