Page:Sue - Le Juif errant - Tomes 9-10.djvu/447

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Djalma, vivement ému, lui tendit la main, le fit relever et lui dit :

— Tu avais le droit de me demander une preuve d’affection. Je suis heureux de t’avoir prévenu… Allons… courage !… espère… À ce rendez-vous, je t’accompagnerai, et si j’en crois mes vœux… de fausses apparences t’auront trompé.

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Lorsque la nuit fut venue, le métis et Djalma, enveloppés de manteaux, montèrent dans un fiacre.

Faringhea donna au cocher l’adresse de la maison de la Sainte-Colombe.




XV


Une soirée chez la Sainte-Colombe.


Djalma et Faringhea étaient montés en voiture, et se dirigeaient vers la demeure de la Sainte-Colombe.