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Le Gitano.
Enfin !
Le bourreau.
Non, mon seigneur.
L’alcade.
Comment !
Le bourreau.
On m’a fait venir de Cordoue, on m’a dérangé de mes occupations, ce n’est pas ma faute à moi si le bourreau de Cadix est mort.
L’alcade.
Que nous fait cela ?
Le bourreau.
Mon seigneur, on me donne vingt douros pour étrangler le condamné que voici, mais non pour lui couper encore le poing. Ajoutez dix douros, seigneur, et je suis à vous.
Le prêtre.
Quel horreur, ô mon Dieu !
Le Gitano.
Le drôle donnera une bonne dot à sa fille ; il entend les affaires.
L’alcade, à la Junte.
M’est avis, mes seigneurs, que c’est fort cher