Page:Sully Prudhomme - Œuvres, Poésies 1865-1866.djvu/109

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Telles, je sens au cœur, quand tous les bruits du monde
Me laissent triste et seul après m’avoir lassé,
La présence éternelle et la douceur profonde
De mon premier amour que j’avais cru passé.