Page:Sully Prudhomme - Œuvres, Poésies 1865-1866.djvu/78

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    Les gardiens noirs que le soupçon dévore
    Selon mes vœux ne vous cacheraient pas ;
    Ma jalousie est plus farouche encore :
Elle est toute en mon âme, et le vent même ignore
        Les noms que je lui dis tout bas.