Page:Surell - Étude sur les torrents des Hautes-Alpes, 1841.djvu/10

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sance d’une seule objection, que des exemples pris sur les lieux ne permettent de repousser aisément. Je n’ai pas recueilli un seul fait qui infirmât mes premières propositions. Loin de là, je pourrais maintenant les corroborer d’un grand nombre d’observations nouvelles, et je regrette que les occupations de mon service ne m’aient pas laissé le loisir de remanier mon travail, et de le rendre moins imparfait et plus probant.

Embrun, 15 mars 1841.