Page:Sylva - Les Pensées d'une reine, 1882.djvu/72

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dans du beurre bouillant. Elles le font crépiter et jaillir.


III


C’est pour lutter contre ses amis qu’il faut surtout du courage. Il semble qu’on éteigne soi-même le feu de son foyer, pour rester au froid.


IV


L’amitié diminue, lorsqu’il y a trop de bonheur d’un côté et trop de malheur de l’autre.