Page:Tagore - L’Offrande lyrique.djvu/84

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sa grâce » ; puis ils s’assirent dans un coin et se tinrent débonnairement tranquilles.

Mais dans l’obscurité de la nuit, turbulents et osés, avec une avidité impie, ils violèrent mon sanctuaire ; et je trouvai l’autel tout dépouillé de ses offrandes.


XXXIV


Laisse seulement subsister ce peu de moi par quoi je puisse te nommer mon tout.

Laisse seulement subsister ce peu de ma volonté par quoi je puisse te sentir de tous côtés, et venir à toi en toutes choses, et t’offrir mon amour à tout moment.