Page:Taillasson - Observations sur quelques grands peintres, 1807.djvu/369

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dont on pouvoit remarquer l’émotion et les larmes à travers le voile dont son visage étoit couvert, s’approchant du cercueil, y a placé un bouquet d’immortelles, et s’est retirée au fond de l’église, pour y continuer les prières qu’elle avoit interrompues. Les tiges de ces fleurs étoient réunies sur un papier ployé, sur lequel étoient écrits ces mots :

» Ces fleurs, offertes par la plus reconnoissante de ses élèves, sont l’emblème de sa gloire. »


FIN.