Page:Taine - Carnets de voyage, 1897.djvu/310

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réfléchi, avec un éclat plus métallique et plus intense, dans la surface resplendissante, la terre et le ciel tout entiers illuminés, et au-dessus de ce ruissellement de magnificences, l’azur pâle, pacifique, immaculé, où s’allumaient, comme des pointes de dards, les premières étoiles !