Page:Tanner - James, Memoires de John Tanner, vol 2, 1830.djvu/146

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ment, parmi tous ceux qui avaient été blessés, succombèrent immédiatement ; mais beaucoup avaient été assez violemment maltraités pour qu’il fût nécessaire de les renvoyer dans leur pays. Si la plupart des combattans n’étaient point entrés sans armes dans la querelle, ses résultats auraient été bien plus douloureux. Malgré des questions réitérées, je ne pus rien apprendre de satisfaisant sur l’histoire du vieillard, dont l’heureuse intervention s’était fait sentir si à propos ; on ne me dit pas même son nom. Il circulait parmi nous, à son égard, des rapports aussi vagues qu’extravagans.