Page:Tap-Tap - Passions de jeunes miss, 1907.djvu/140

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 128 —


appelée durement au milieu de la salle, recevait l’ordre de relever ses jupes, d’ouvrir le pantalon, de présenter les fesses aux mains fouetteuses ou au martinet cingleur. Miss Sticker sévissait, sévissait, et les jolies rondeurs blanches du postérieur étalées sous ses yeux, elle frappait, patinant par moments le satiné de la peau, pinçant les rebords rembourrés pour bien marquer sa colère, lorgnant avec luxure la largeur de la fente des culs, dans l’idée confuse de les enculer une nuit prochaine.

Ah, la confession de la petite Lucy à Clary, après que miss Sticker se fût retirée avec Hilda, laissait prévoir la rage érotique qui commençait à dominer la directrice, rage susceptible d’exposer à bien des dangers, maîtresses, servantes et élèves ! Elle n’avait pas voulu que l’enfant assistât à la fête, parce qu’elle était descendue au cachot visiter miss Lisbeth pour la consoler, la caresser, la gamahucher, ainsi que cela lui fut rapporté. Lucy, si rétive au début à gougnotter, se prenait de passion pour le cou, le minet, le cul de Lisbeth, et les dévorait de suçons à toute occasion. Pour la