Page:Tap-Tap - Passions de jeunes miss, 1907.djvu/196

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 184 —


d’Hilda, et plus il trouvait qu’il avait une femme sous les yeux, non une fillette mièvre et viciée avant l’âge. Une moue de dédain errait sur ses lèvres.

— As-tu une petite amie, toute jeunette, dans la maison, demanda-t-il ?

— Je n’ai plus que mes livres.

Qu’est-ce à dire ! Voudrait-elle lui donner une leçon ! Albert s’irritant de ne pas avoir à sa portée une pucelle interdite, retourna brusquement Hilda sur le ventre, comme s’il allait rendre hommage à ses fesses, et, prenant vivement une badine, un jonc flexible et solide dissimulé dans les plis du peignoir, rejeté à terre en pénétrant dans la chambre, il se pencha sur le lit, laissant supposer qu’il allait faire feuilles de rose au joli cul de la fillette. Mais, clic, clac, la badine siffla, s’abattit sur le derrière si séduisant, et prêt à accepter l’enculage pour en avoir plus vite terminé ! Clic, clac, les coups se précipitaient, le corps d’Hilda se tordait, la badine atteignait les fesses, les reins, le gras des cuisses : folle de douleur et de colère, elle roula à bas du lit, se glissa dessous pour se cacher et éviter la