Page:Tarsot - Fabliaux et Contes du Moyen Âge 1913.djvu/26

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il l’asperge copieusement d’eau bénite, lui donne quelques bénédictions, et permet qu’on le lâche.

Le malheureux vit bien qu’il avait été dupé. Il se retira chez lui honteux et honni, ayant perdu ses quinze sous ; mais en récompense il avait eu un évangile et des bénédictions.