Page:Tastu - Poésies nouvelles, 3ème édition, 1838.djvu/146

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
138
LA MARINIÈRE.


J’ai dû me plier
À sa vie entière :
Il est marinier,
Je suis marinière.

Si dans sa colère
Gronde un vent jaloux,
Si l’onde en courroux
Franchit sa barrière,

Tu viendras prier
Sous la croix de pierre,
Pour le marinier
Et la marinière.