Je meurs de honte ! La maladie s’est emparée de moi ; c’est elle qui m’a réduit à cet état. Fan-Sou, n’en soyez pas surprise. Puis-je savoir quel motif vous amène ?
Ma maîtresse vous porte beaucoup d’intérêt : elle ignore si vous avez pris du repos et si vous éprouvez du soulagement, (mie chante.) Elle vous recommande, Monsieur, de prendre des potions et de soigner votre noble personne.
Vous a-t-elle chargée de me transmettre quelques conseils ?
Elle désire que vous vous appliquiez à l’étude des King et des historiens, et que vous ne négligiez pas les belles-lettres.
Me donne-t-elle, en outre, quelques conseils dictés par son cœur ?
Gardez-vous de laisser échapper quelque parole indiscrète.
Je suis malade à ce point que mon âme est bouleversée,