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LE CABLE, ACTE Iii, SCENE lll. 255 A moi! sortez promptement dela maison , Tor- calamité , que tardons-nous de nous résoudre ii balion! Sparax (1)! Où êtes-vous donc? mourir? La mort est le seul remède aux maux ex- Tra/t. Entrez au temple, je vous conjure, et trêmes. secourez·les. Tm It. (à part.) Qu’entends·je? quels discours dé- Dém. Mes gens ne se feront pas appeler deux sespérants! Hâtonsmous de leur porterquelque con- fois. Bon; les voilà. Allons , qu’on me suive par solution. ( Haut) Palestra! Palestra ! ici. Pal. Qui m’appelle? Trek. Ne perdez point de temps. Ordonnez-leur Trail:. Ampélisque! d`écraser les yeux à ce pendard , comme les cuisi- Amp. On m’appelle aussi. Qui êtes·vous? niers font aux sèches (2). Pol. Qui m’a nommée? Dém. Traînez-le-moi dehors par les pieds, comme Trak. Regardez derrière vous. une truie qu’on vient d’ég0rger. Pal. 0 toi, mon unique espérance! Trait. (reste seul.) J’entendS bien du 't11mUlï9- J6 Tru/r. Cessez ces cris, reprenez confiance. Regar- me Iigure qu’ils peiguent (3) cet infàme; mais cest dezqngi Mou ; pg Sujcjg pag 11,9 à grands coups de poings. Oh! que ne brisent-ils Pal. S’il est possible, sauve-nous d’une si horri- les mâchoires à ce méch ant homme. sans lui lais- ble oppression zsi elle durait, Trakhalion, ma mort ser une seule dent! .... Mais voici ces deux pauvres s’ensuivrait, j’y suis résolue, [illes, qui sortent du temple bien etfrayées. Tm}:. Ah! que dites-vous là? Vous n’êtcs pas ._ Sage. SCILNE IU- Amp. Et toi, tu ne l’es guère de prétendre ap- TRAKHALION, i>ALns*1·11E, AMPÉLISQUE. âîziîfegâîufs Pümlûs ¤¤ ¤0¤l¤e<>¤¤€¤¢ aux i•€1¤¤S Pa!· C'€St prêscntèlnëllt que UOUS UVQUS WUÈ Pal. Si tu ne me donnes un secours efllcace, cest Püïdü , 6111% î0Uî S€C0U1'S» lûüœ P\`0W*U°“ nous fait de moi, Trakhalion; et plutôt que de mc voirà la manque , que tonte espérance nous est lï1l`dli€· discrétion de cet infâme, je suis déterminée à une Que fëllïë? OU tourner ¤0S PUS? ESV11 deux UUUUS donner la mort. (à part.) La mort! je sans que j’ai MUFÈBHUS DIUS ¤]Ull1€U¤‘€US¤$ (1*16 DUUS? ·§ fIU‘îl Cm le cœur d`une femme : hélas! la seule idée de mon- nous vollà réduites! Et dans cet etui Inêmè , qüêl rir me fait frémir tout le corps. SUFCTON d11D,IU|`€, ll’0¤îTü2€$ MUS WDQUS d’€P!`0U· Trait. Votre situation est cruelle : mais ne laissez VGP de lil Pilrt du YTIÉCIILIDC ilûlllmê El qlll NOUS HVODS pas dg prendre c()uragg_ le malheur Tzlppnrtcnîr! Cet impîc F1 jm H œ¤'¤ la Pal. Eh 1 d’où veux·tu.je te prie, qu’il nous vienne, pl°êtrCSS€ de VÉDUS, et, SJHS respect [JOUY SOll âgt}, ce Courage? _ Fainrligement maltraitée. Il a mis le comblerà ces y·,·a;;_ Je vous le répète, ne craignez rien ni excès en nous arrachant de la statue dela deesse, rune Di 1’;mu·$_ Tcmzwoug agsjges au pied de que nous tenious embrassée. Ah! dans une telle hum] (gv U) Nom dwmaœs cm_mcm_,’ ou pmwoum, ,0m,,ü_ Le Amp. Et de quoi 110115 pïéscrvera-t—il, cet autel, nom du premier signifie trouble-/éta; le nom du second siguitie déchirailf. €¢01'€/tw? etc. (1) ll y avait un autel extérieur :Iu·dcvunt de tous les [empire, (2) Apparemment [>0\\|‘ (MTB UDC SEUCC , 01lDC|1Y—¢h‘C CU V*"l’l·|1 dt? sans préjudice des autels intérieurs. Ualitel Cxtèricur servait mix quelque préjugé de religion ou de recette de médecine. Ce passage cérémonie; publiques , nù la mule eût été tmp gi-sudo pour gu-, n fort, intrigué madame Daciêt, qui (i'3lll€\!I'5 traduit Clîdffê 0<Iul03 contenue dans le temple. ll scfïnlt. I11·%Sl aux oxpiallons, cui- log par arracher les your. tandis ~in'il S’¤i;1t d`ycn¤ de 1>¤îs=w¤s coupables ou profanes ne pouvaicntentrer dansie temple qifaprès écrasés. s’èt.re pnrliiés au moyen de Veau lustrale contenue dans une fon. (5) cette expression du style vulgaire fes! transmise de Sîûclc cn taine ou grande cuve remplie d’€8U, t011.I0ut‘s placée auprès du cet. siècle. autel. Drum. At malo cum magoo suc fecit , hcrcle · ite istinc fo- Qui seelestus sacerdotem annm prœoipem ras , lièpulii, propnlit, perquam indignis modis , Turbalio, Spurax, uhi eslis? Tmclt. I, ohsecro, iutm , sub- Nosque ab signo intimo vi deripuit sun. veni ` _ _ Sed nunc, sese ut ferunt res fortunœque nostrae, lllis. Dœm. Iterum haut] înperabo, sequimini liac. Track. Por est moriri : neque est melius morte, in maiis 065 Age nunc jam, Radins, miseris. Trash. Quid est? quœ illaec oratio ’st, Juhg oçulos olidero, itidem ut sepiîs faciunt cnqui. Ccsso ego has c0ns0|ari7 heus, Palœstra! Pal. Qui vocal? Dmm. Proripîte nominem pedibus nue, itidem quasi obci— Trac/z. Heus, Ampelîsca! Amp. Obsecro. quis est qui vocat? sam mem. G60 Pal. Quis is est, qui nominal? Trash., Si respexis, scies. Track. Audito tumultum z opînor Icno pugnis pectitur. Pat. 0 salutis mea: spas! Tmch. Toce, achono anima os, 670 Nimis velim ioprobissumo homini maias edentoverint. Me vide. Pu!. Si modo id liccat, vis ne obprimat : Sedecoe ipsac huc egrediuntur timidaee Iano mulieres. Quze vis, vim mihi adferam ipsa, adigit. Truck. Ah, desino: nlmis inepta cs. SCENA TEBTIA. Amp. Dcsiste dictis nuncjam miseram me consolari. FLN" `d|·· `di ad · T ·tli th' mraasrnn, Aurariscn, TRACHALIO. " m';,?`" " Fmg um p°"°’ m""" °’ ce ‘”° par Nuno id est, quon-, Omnium œpgamm nique mmm _ Gertum ’st moriri,quamhunopati grassarilenonem inline; G15 Aung, prœsidi vjdujms mm œyœt; M5 Sell mullebm BIIHDO Sum tilmvn 1 mlâtïib llbl Vtmil ID men-· Nec ulla specula’st, quœ salutem adferat: _ WU Nec scimus quam in partem ingredi persequamur. Mllll, l’¤0l‘US FIIEIUS membra obcuput, adcpol. T rach. Etsl hoc Maxumo miserœ in mem nnnc sumus ambœ, ¤1=€1`ï>Um· '[`autaiuportuniias,tant·1que iojorio Bonuxn animum hnhete. Pol. Nam, obsccm, nude animuz Foch in nos est modo helc iutus ab nostro hero, 060 mihi im cuitur?