Page:TheatreLatin1.djvu/381

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am PLAUTE. oflteur. lîar Pollux, il Pundit; de plus, il soutient vement qu`i|s viennent s’y réfugier : laisse; il me qu il n a pomt vendu sa maison a Philolaches. sera d’autant plus facile de le faire condamner par Tran. lsah! dit·il aussi, Je vous prie, quil n’a le juge à nous payer. pas reçu d argent? l , Tran. Faites tout simplement votre affaire : _ .Theu1·.l31en plus: il offred attester avecserment, pourquoi vous créer des embarras, des chicanes? si le vo’ula1s , qu il na point vendu cette maison, ct ·Vous ne savez pas combien les proces sont à redou- quil n a pas reçu d argent. Moi, Je l’ai soutenu. ter. Tran,. Que dit·il a cela? Theur. Lève-toi donc : je veux te consulter sur T/teur. il s’est engagé a me livrer ses esclaves un point. pour subir un interrogatoire et la question (1). Tran. D’ici je vous donnerai mon avis : j'ai plus Tran. Balivernes ! ll ne le fera point, par Pollux! d‘esprit quandje suis assis. Et puis les conseils ont T/teur. Il est tout prêt. plus d’autorité, partant d‘un lieu sacré (1). I Tran. Eh bien! faites-le citer en justice. (Il veut T/teur. Lève-toi; ne plaisante pas. Regarde mon S en aller, comme pour se rendre chez Simon.) visage. Thcur. (le retenant.) Demeure. Je pousserai la Tran. Je regarde. chose _|usqu’au bout; j’y suis résolu. Theur. Vois-tu? Tran. Abandonnewmoi cet homme. T mn. Je vois qu’u¤ tiers qui surviendrait mour- Theur. S1 je faisais venir ses esclaves? rait de faim. Tran. Cela devrait être déjà fait : ou bien chargez- Theur. Comment? nous de demander que l’on mette Philolachès en Tran. Parce qu’il n’aurait rien à gagner. Nous possession. sommes tous deux si malins! Tueur. Non; je veux d’ahord interroger ses es- Theur. Mort de ma vie! elaves. Tran. Qu'avez-vous donc? Tran. Par Pollux, je vous le conseille. Moi , en Theur. Tu m’en as conté. attendant, je vais m’emparer de cet autel. (Il court Tran. Comment donc? o fazdel placé auprès de la maison(2). Tlœur. Tu m’as mouche de la bonne façon. T/teur. Pourquoi cela? Tran. Regardez bien; est-ce assez? La goutte ne Tran. Vous ne comprenez rien 1 c`est de peut vous pend-elle pas encore au nez? qu’il ne serve d’asile aux esclaves qu’on vous livrera T/teur. Vraiment non! Tu m’as mouché jusqu’à pour l’enquête. (Il süzssied sur Faute!.) Je me poste me tirer la cervelle de la tête. Oh! j’ai appris à ici dans votre intérêt, pour que rien ue trouble fond toutes vos fourberies; il fond! cela ne se l’inter1·ogatoire. peut, car e’est un abîme sans fond. Mais, par Pol- Tlzcur. Lève-toi. lux , tu ne te seras pas joué de moi aujourdhui im- Tran. Non. punément. Je vais, bourreau , te faire entourer de Theur. Ne reste pas sur l’autel , je te prie. fagots et de flammes. Tran,. Pourquoi? Tran. Gardez-vous-en bien : je vaux mieux bouilli Theur. Écoute-moi 1 je désire au contraire v1- que rôti. (1lOn torturnit les esclaves pour éclaircir un fait personnel si Tllëuï. Pilt les (llC\]X , jl! fCl'3î d8 toi UD BXBtI1[)i8. ‘l n m 't . C t et ge mo en d’in•sti-uction est explique dans · ·. n ·· .Z Li., ihîâî. ...§î“.........i... tn. ..... . % Mm; Arme 1·j=¤* ses vous ses ¤<>¤¤w¤~ dr (n) Lc chrlstluulnne n longtemps imite cet usaae. On peut voir cn- mûl, [)\lISquB VOUS III offrez BH EX!-lmplô. core la niche ou I‘lmnge de la Vierge sur la façade de nos anciennes m;5$¤n5_ (I) Le sénat fassemhlalt ordinairement dans un temple. Thcur. lmo, edepol, negat prolecto; neque se has mdels cro, aram. Tran. Cm-? Tueur. Scies. . phüopwht Quia id cuim mnxume volo, ut illi istoc confugiant; sim-. venuidisse. Tran. Elio, an negnvit slbi datum avgcntum, Tanto apudjudioem huuc argenti condemuaho fucilius, nbsecro? Tran. Quod agis,id agas : quid tu porto vis scrcre nego- Thmr. Quin jusjurenclum pollicîtus est dare, sl \'0ll¤II\, lium? _ _ _ 14375 mihp loco Nescls tu qunm meticulosa res slt lre ad yudxcem. Ncquc se hasce œdeis vendidisse, neque sihi nrgcutum du- '"*¤z‘·uî:l’5<‘<:à1¤1 ]l¤<>¢ ¢$l ¤°¤S¤l€1`€ igilur quiddnm quod t _ c c . · I Dm 3; mucidcm mp T,.,m_ Quid mg T,•,e,,,·_ Seront; po;. Trarndsic tamen hme conslhnm dedero: nimio plus sapin li it td se ens. sim iiriiilonîriîis quasuoni. Tran. Nages. Nuuquam , eac- Tum consîlîa ûrmîoru sunt de üivîuîs Iocîs· WL dawn Theur. Surge, ne nugare : adspioedum contra me. Tran. Turin. Dat profecto. Tran. Quin etillum in jus tube ire, Adsprxl. Tkewr. `Vldes? l mso Thema hm mane_ II;-an. Video: huc si quis intercedat terlius. pereat fame. gmmu, ur Opium-; m>rlum'st. Tran. Mini hominem cello, Then;. Qmgum? Tran. Quia mhu quzrsu saut z mali, hat _ 11 si ' lt a li xninem? Tran. Factum c e, am o sumus. Theâgmîgse opài-uiiiîgo Imam 0 mos Thema Peru! Tran. Quid tibi’st? Theur. Deuistl vu-im, Vel hominem jube œdeis mancuplo poscerc. Thcur. lmo hoc Tran. Qui tandem? Thcur. Probe _ Mmmm vom, Me emumtti, Tran. Wide, sis, Satine FCCIOT num mucci Quœstioni adcipere servon. Tran. Faciundum, etlepol, Iluunt? .,,.,,5% ; eg,) Them-. lmo etiam cerebrum quoque omnem e capim Interim banc aram ohcupabo. Thcur. Quid itu? Tran. Nul- emunxti meum. H185 mm rpm S;,pgS_ Nam omnia malclactn vostra reperl radicitus. Ne enim illi hoc confugere possint qoœstioni quos dalxît, Non radicitus quidem, lu-rclc, verum cham eradicîtus ne-ic ego tibi pmœidebo, ne intcrbitat quasstio. Io7I Nunquam , etlepol, hodie lnultus destmavenm 1ihi.. 1‘h«m·.Surge. Tran. Mînume. T/nur. Nc obcupassis, obse~ Iam juhvbo lgnem et sarmcn, carnulex, circumdari.