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Page:TheatreLatin1.djvu/68

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L’ASINAII\E, ACTE Il , SCÈNE ll. M Lib. Où est-il, ce jeune homme? où est-il? la somme, nous la perdrons tout à fait. Tu as dejà Léon. On dirait que tu veux le dévorer, si tu ebauchéhouvrage; il faut l’achever. Carle vieillard Papercevais? _ m’a pris à part tantôt, en me faisant sortir exprès Lib. Oui, sans doute; c’est mon dessein. Mais tu de la maison, et m`a prévenu que nous péririons sous veux parler de ces ânes vieux, boiteux, qui avaient les étrivières, si son tîls Argyrippe n’avait aujour- la corne des pieds usée jusqu’aux cuisses. d’hui vingt mines. Il m’a ordonné de tromper ou sa Léon. Oui; ce sont ceux-là qui apportaient des femme ou le maitre d’hôtel; il m’a même promis de champs les verges d’orme pour ton usage. nous aider. Va trouver à présent notre vieux maître Lib. J’entends; ce sont aussi ceux qui t’0nt em- sur la place; dis-lui ce que nous projetons; et que porté attaché jusqu’à notre maison des champs. tu vas te changer en Sauréa , le maître d’hôtel , alin Léon. C’est cela même. Tu as dela mémoire. Mais de recevoir l’argent que ce jeune homme apporte tandis que j’etais assis dans la boutique du barbier, pour les ânes. ce jeunehomme vient me demander si je ne connais ]_g,m_ Il Sufpn pas ¤¤¤¤¤rt¤·î¤ Dëmë¤èw· fils ~î<=S1r¤r<>¤;i¤ réponds rn. Mea, j`amuscrai ier iuamnger, en arrive dans que je le connais fort bien, et que je suis son es- ]·mm·vajj€_ `clave; je montre notre maison. ]_ëOn_ Esbœ là mm? Lib’ Fon bm"’ Ensmœ? 1 ib ‘\l’avons·uous plus rien à dire 7* Léon. Il ajoute qu’il apporte au maître d`hôtel .0` L F t P Qd . ` f . S Sauréa le prix des ânes vendus vingt mines d’ar- , c T" ’°°u °’ , É . en flu? J’? cqmœ em au’ _ . ,. . . . _ ren , sr, pour la verite del rnntationje te donne un gent, mais qu ilue connait point Saurea, que , pour fn r I fâ _, · Déménètc il l’a déja vu et le connaît fort bien. Sou _ ce ne te pas, 8, L ml-’ _ Y 1 Quand il mieu, mm ce dic0m,S___ Lzq. toi, ne t avise pas de me toucher. Car si Lib, Qug 55.;,19 Celui arrive, ll L en prendra mal rl avoir clnmge [gn Léon. Ecoute ; tu vas voir. Je me rlonuai de grands mmf _ _ ft. l airs, des airs d’imp0rtance, et lui dis que j`étais FO"’ Je we pr’C* Sou m 65 COUPS de bonne moi-même le maître-d`hôtcl. A quoi il me répondit: gm?’?' _ ff d b â . I Je n’ai point vu Saurézujeuo connais point sa figure. LZ? bl Suu ,*1 ° ‘?"“e.gr,,°° quele tc °S ’°"dC· Ainsi, ne vous fàehez pas; mais amenez avec vous LÉ"m· Je d°_’5 ie ÉrÉvEmï], avance’, I, _ Déménète, votre maitre, que je connais fort bien; L’? f"?’ :1*;.%* i° te 15 ce que Je °rm‘ alors il n’y aura plus de difficultés; je vous remet- L?"’ B" t y R use PaS’ trail argent en sa présence. Je lui ai promis quej’a- 15*6- Je tc Pmlileis Swiefmm de tc rendre en mèuerais Déménète, et que je serais à la maison. molils amant qu? re ‘2€C€“`“‘· ` Pour lui , il a dû aller au bain , et reviendra ensuite MO"- Allûmilü W15 (IUC W W Plêiîôïîls il la Pï¤î· ici. lih bien! que penses-tu qu’il faille faire dans SBlltCl’l€· Mais on vient- C’eSt notre homme |nï· wm, C,m0,,Sm,,c€g D,S_ meme. Je reviendrai b1entot.·To1, arrête-le ici. Je Lib. Je cherche dans ma tête comment nous at- WNS îrüllvür lë \’18lll¤\’d, Et lul raconter l’affaii-e, traperons Fargent; il faut se placer entre Sauréa et Lib. Allons; va donc promptement faire ce qui Pètranger : ear si celui·ci rejoint l’autre, et lui remet te concerne. Que n’es-tu parti? Lib. Ubi is homo‘st? Leon. Iam dcvorandum cerises, si Hospes buc adlert, oontinuo nos arnbo exclusi sumus. eonspexeris. Nam me hodie senex seduxit solum, seorsum ab ncdibus : Lib. Ita enlmvero : sed iamen tu nempe eos asinos prazdicas ‘ Mihi , tibique interminniuîst, nos futuros ulmeos , Vetolos , claudos, quibus subtritœ ad îeruina jam cran!. un- ilâïâîglêg iâiàlugeïsâëîlnîïfeïl $2:- rulze. * li i s. , Lmniî Ipsos , qui tilii suhvectabant rure huc virgas ulmeas. D°["“‘l"l’° i fmu SES’? °P‘*"“"* Pwnlmaul dül‘€· Lib. ’rlepeu = atqueiigem te him; vexeruntvinclum rus. Nunîcâgr nâlgs mmm ed herumv et nâïfîh hœü ut Dos BON. BIIIUF (*5 FU B. ’ Vcrum in loustriiia , ui scdebam, me îniil. pcrconlaricr : TB Ex Lmmma Mmmm HSS’: nmenS°m_ S_au“am’ _ Eçquem fiuuîu Stratonîs llovcrim Demœnetumq ’ DülïîâlllgîîlllülüB.dlI’(!1‘îli.lD€l‘CÉll.0l‘ PFO &Sl[lIS· LBOPL Fûülîllïl gggfîî îâgîgtîiïlgîîl Iëîdgëtœ? Lilnrâgo illuin interea heic oblectabo, prius si forte advene- u. i o sino r en um a riensi Saureae, . . . . . êîgâmîàxâîînîrïd eu; sa îlângnuîme àümincm qui Sm: Leon. Quin tus? Lib. Quid vis? Lean. Pugno mttlum si um heer ce M sem -‘“<*¢ "*er¤€*¤¤·· rrtrîlîiîsëlîzerm latino. mr. ne num... Q¤·>·=·#·m lm e|°°qmS bac Sm"’ LM’ Quid mm? Leo"’ Au- Lib. Herele vero tu cavehis ne me adtivas · si mc ls Exteîîâîtîfîîës mc atquc magnîlicum vîtuln NED ilüliikê [Hill!) IDUHI 2i\}S|)lClO ll0ll’|€I1·COIîl’II)\};.Z\\l¢5l‘lS. E , Dico med esse atriensem : sic hoc respondit mihi : , L’°’;g3fff§,î‘fQ;’l ammo pamon Lib. Pûmür m mmh quo"’ ¥ë°.;.‘î.°!.1.,î‘;ï.‘î..’é‘.‘Z.‘ï,’;.‘l.‘;li:.î’î!iEî;‘§.Zîîê’îrit§.§12r;...., L~··ç;__g;3g, g;,;·;~·’5· M Le M ¤¤·=¤·= ne «··¤¤«·» ur UCID È ’U UDV}, É]ddlICE îaf ’lll’l UI.11 HUI] HIUFÈI I’, i ‘1"` . e · - ~ · îî€0jmÉ|IXerwîadqu:tqrg£:l1l:Lmeçlomi plizëtoqflt-lille es Leoiütplîeîêîîisrib. Quin promrtto mquam hoslire contra , Qâùîlggîëjgîâàllgüzs (;aÉuîd:;`î2L°bë?;S Lib. Hem Lnuësqgo abeo : tu, jam sexo , paherc : sed quis hic est? ig Quomodo Mgzmtum mmvomm ’ et adœnwœm ’ et Sm- Ille îglèpsus . jam ego reeurro hoc . ture hunc mteren here ""‘“”· _ _ _ Volo seni narrare. Lib. Quin tu opücium facis ergo, ae iu- Jlllll ÃIOC Opuû Gil 8X&3(Dl&ill]1l; Hall} Sl Hill HTQPIIIUID pflllü