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L’AS[NAlRE, ACTE V, SCÈNE I. 5 3 rien dire? J’aimeraîs mieux mourir, que de ne pas Arg. Et vous, esclaves, servez·n0us. en avertir sa femme. Vieux libertin ! tu veux faire Dém. Est-ce que cela te fera de la peine, mon le jeune homme chez ta maîtresse; et auprès de fils, si Philénie se couche sur le même lit avec moi? 9 *‘ ` ta femme, tu texcuses Sur ton age? Tu en etes A,~g_ Ma pœœ mmm fem que Je le verra; sans me hlm a $9*1 îllllûme et tu domlœ d¤1’¤re¤¤t PO"' douleur. J ’aime cependant Philénie; mais je ferai · · . ' Q . . ERVOU'? Ta voies en È“‘”`et ta friymrz et tj' '}m‘S°”· un effort sur moi-même pour ne pas trop mhflliger l - . · ~ 1`¤ lm? Pëlîdmls Plllwt que de mfïlb lg'"` at °“ gm de cc qu’elle sera couchee pres de vous. dcr le secret. Par Hercule l Je vaisla trouver sur-le- Dém H faut quqm ms Soit Soumis et respectueux champ, celle que tu auras bientôt ruinée, si elle ne Ar JC Sais mon we t ut ce ue, V ua dois te prévient, et si elle ne Uempêclie de la dépouiller D ,g' Fh b, ’ d pff ’_ O I q J6 °_ ” ° pour fournir aux frais de tou libertinage. M3 '6'É °““· ‘m°"S È`? mlm g°'"°`m°"°t* Le Par. J e pense comme vous; il faut en avertir al°“S if . °" vin St du lwfiïm ·l°l mx.', J6 ne ‘.°“” la femme; mais il me sembla quql Sem plus hom pas me Zire Grain re de toi, mon fils,] aime mieux · nête que ce soit moi qui lui donne cet avis; car cmi mm ‘ . . . . . • · , ·. · elle croirait que vous êtes venu lui reveler ce secret A7`} J ¤|_l-l0l11'_‘0l1S lilm Bl l MYCTE Sëlltllllüülë · plutôt par amour et par vengeance personnelle , Commc lm ms dûllî les ¤V0ll‘· que par intérêt pour elle. Dem- Je le croirai , quand je te verrai de bonne Diab. Fort bien; j’adopte ton idée à mon tour; l1l11110\1P· va faire du tapage chez le bonhomme; donne-lui Arg. Est-ce que vous pensez que je suis triste? de Yembarras, et prépare-lui une bonne querelle Dém. 11 faut bien que je le pense, quand je te avec sa femme; avertiscelle-c1qu’11layvolc, et Cela vois une mine comme situ allais être mis en juge- pour aller boire tout le _]0L1I‘, MCC SGH l1lS, Cl1€Z l·ll18 ment pour une affaire capitale. maitresse qu’1ls ont en commun. _,;,·g_ Nc dites pas œ]a_ L8 Pm`- RallP0î'œZ·‘f’0US·€ll il mml J6 VMS lol" Dém. Je ne le dirais pas, si la chose n’était ment arranger ses affaires. a;nS;_ ' Djab, Et mül, jt} vais È,&UCU(l!'9 il la maison A‘y·g_ Bm]! rgggrdgz; je pis,

   ‘_ Dém. Puissent rire ainsi ceux qui me veulent

du mal! L“°““° “ p“É“ d‘““" l"“t““"““ de le “‘f‘5"" d° Cl°“'°*°· rg. J e sais bien, mon père , quelle est la raison S CE N E PRE MIER E_ qui q)1pl,fa1t' paraître tristrp à vos yeux; destdparpe , ue ilénie est au rès e vous· et à vous ire a AP‘GYP‘IPPF'• DÉMENÈTE iiérité , j’en rcssenslile la peine; itoiitefois, je n`¢;~n Arg. Allons, mou pere, n1eLt0ns·nous atable, si désire pas moins pour vous ce qui vous fait plaisir; vous voulez. I mais enfin j’aime passionnément cette belle; et il Dém,. Tout ce qui te plaira , mon [ils, je le mo serait plus agréable de vous voir auprès d’une ferai. autre qu’elle. i Mn mnlim, quam hœc non ejus uxorîindicem. Dem. Numquid nam tibi molcstum ’st, grmtc ml, si hœc nana Ain’ tu? apud amicarn munus adulesocntuli mecum admba;7 Fungare? uxori excuses le, el dlcas SCHEIH? Arg, Pietag, pater, oeulis dolorem prohibet : quamquam ego Prœripias soortum amanlî , àliqlle ilfgêütllîïl obicias îgtanc amo, LGWB? *‘“1’l'l'“ mm demi “"°"§‘m mam? Potsum equidern iuducere anîmum , ne tegre patiar, quia tb Suspendas potins me, quam tacite lizec auferas. cum adwmp . Iam quidem hercle ad lllam hincibo, quam lu propedîem _ l . · Nisi quidemiilla. ante obcupassit te, cctliges , scio, i D°mÀ,:jmcëÉ,ZE;î°`?l(:E;n asse ad" BSCN-'mm’ Mm îwpœ Luxuriresumtus subpeditara ut potsies. _t î` [ P è’ 't usa Dem A E h _! Par. Ego sic facicndum censeo 1 me houestiu’st, Mm 9 ,ï° acer ' po S ' ‘ se rg°* °° agi cmus °°“' Quan; te, palam banc rem facere, ne illa existumet V, vl? m , _ ` L _ F Amoris causa percitum fecîssc te lH(l E SEUIIOIIE SULWI · HO 0 ego IDC U1 , Zl[l'\3I‘l ?1H\0l()` Mags, mmm wa muw DWL M, PO], quan dm; œcuu Mrgpatelme abs te.Arg. Pol, ego utrumque facto, ut œquom Tu ergo fare, ul. illi lurhas, llleis coucias , St ûhmm _ _ Cum Sao Sîbî gnüto unam ad amicam de .D€77I· cl`Cdüm·îStuC, sl esse tc hllüfum VIdBl'0· .Ã7'_/]. Àll tu Potarc, illam expilare. Pm-. Jam ne mo mime, csse me tristem putes'? Ego istuc curabo. Diab. At ego te obperiar domi. Dem; làpleug âëâ? îlfêcm vidmm WWE 655** mœslüm , Ulflllâ- _ si tensi 1 asi. A C TU S Q UI N TU S. Arg. Ne dîxis istuo. Dem. Ne sic fueris , illico ego non dixe- ro. SCILNA PRIMA. Arg. Hem! adspecla; rideo. Dem. Utinam, male qui mihl volunt sic rideant! ARGYMPPUS ' DEM }ENETUS' _ Arg. Scio elquidem quamobrem me, peter, lu tristem eredan Arg. Agedum, decumbamus, sis, puter. Dem. Ut jusseris, nunc tihi; Ml glmlü, îlô üCl€· AF51- P\1¤1‘î« mënëüm ¤1lP°¤ll£€· Quia istœc est lenumt atque ego quîdem , licrclc, ut verum dicsm, pnlcl',

  • Il faut 11'cn, dans cet acte, que la décoration montre à la fois · , · - ·

1·mte«·i·-ue dela maison de Cleerèteî ou seplusseàe îouper, et la place La rîîlîsîle haha ` ac mm eo' qum hm non wpum‘ mm publ' L1 , ‘ A tc one, emme c D m nète,vlentvolr1c , ' _ . , , i=a·Tll‘É°,î. IS Slîniï Ssl.·Ã".n rm, et des au wa son mari s Vëmm 1=¢=3¤¤ ¤¤~¤· ¤l1¤M¤¤¤w wc <=¤¤=<l•¤¤ fwle mim Sable avec son ms ct Plnleutc. (Aunnnwx.) P¤\”P¤U·