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LES CAPTIFS, ACTE I, SCENE II. 6;; Hég.Prcmls garde que pour que tu lui ressembles Hég. Si son malheur te cause tant de peines à mieux, je ne te fasse mettre en cage. Mais c’est toi pour qui il n`est qu’un étranger, que penses-tu assez de paroles, fais ce que Je t’ai dit, et va·t-erp que jeprouve, moi son père, moi dont il est le Ixrg. (os part. ) Que Je fais de vœuxtpour qu He- tils unique? gion réussisse dans son projet! Car s’il ne retrouve E,»g_ Ueémmge,·;•__ pour m0,?__ votre mSe__Un ‘l 7 ' i ' ' ' 1 I v · . 50n,h 5, C est mme pauvre paras te, qu1Su1S p€1'd_U etranger? Ah. Hegion , ne dites pas cela; gardez- Il fly 8 plus \‘1€¤ 8A€SP¤¤'9!’ (le ¤0$,l€U¤€$ ECM; ll? vous surtout de le croire. (Fest votre fils unique, n’aiment qu’eux-memes. Mais l'exeel1ent llls d’He· diœgwougg Oh; ji est plus qulunîque pom. moi; gion faisait exception; c’était unjeune homme ayant ya; pour mg une tendresse plus quwunique n . · · . , · · 4 ' I ‘ des mœ¤l‘$ H¤§1¢l¤€8·J¤m¤!SJ1€ fle lülifllvcîu PO"' Ilcg. Je te loue de ressentir comme ton propre Flêuâ EF $0; Pëîlürîü îûmmü U! » un 'SUE wmmg malheur le malheur d’un ami. Mais prends courage. qui '0111`ie lètlâ Jambe!. _ f ` h l I E,·g_ Ah! Ah! 0£@q“(¢Plî7;S) CB itëfs l?:` *23; Jîîîfg âjzereigîs Heg. (apart.) Je sais ee qui l’al`l1ige : l‘armce Zone êîcîmmis Ã; lagon ue ueldésordœ qui le faisait vivre est licenciée. (Haut) Est—ce que . i l , . . P , , _a , S (I q , \ous n’avez encore trouve personne qui pût Vous cette nuit; ensuitege reviens sur-le-champ au logis. mmm Km I. é d P . Er (à part) Je suis réellement au déses oir ·l F mm 8. G ammes que vous mm` g' ‘ , P mandiez chez mon fils? que ce bonhomme par amour pour son lils, fasse Er POUVW vous le cm. ce T t c d · , . . .... . .- | l ) ce misérable metier de geolier. Mais dût-il se faire mfusgœtœ char E de u.S Jev t Ouh Peillon B . . . . . , l | . bourreau, _]’y consentirais, s’1l n’y avait pas d'au- [ème · , S ’. .p q .0 NP et °P° . qui l exercait si bien est prisonnier. tre moyen de ramener ce brave jeune homme. H- J , · · . . Hey Qui pme ici, eg. 2 n en suis pas surpris. ll faut tee fournir ' . · ' . une e tro n b · ’ i Erg. C est moi , qui me lamente de votre cha- mg) P On,] muse et wmpçsœ de V pst . _ ., î . _ ., d, , i _ ., d .che en sortes e soldats, d abord des patissiers (1) qui se gllllïlcn ma gl-xS’ jm cpm S’ J En 6588 ’ subdivisent en plusieurs bandes : les fabricants verite. ]l ne me reste plus que les os etla peau. Je de ams -:),115 de ât X d wé d . I · ·. · . · » ’ S" S n’a| goût a rien de ce queje mange chez moi; Sl 08 maàhandl; de Èecnây ea`} ’ . 8 pa S Égnïe. '. E n’est quelque petite chose que je prends chez les dom tu E X t ]¤ucS’ plus une arm emdmmc autres pour me soutenir. Er Q. PEU 8 passa" I d én, 11ég.e¤¤3am, ingame. Sm géuvgf? n‘à“.Pf";J°°'?"ê° les g""‘ S ê ,‘°’ Er . ue les Dieux vous conservent, di ne . lg ws ' ugcn ra comme mm n est 9 Héoîün Ah] Ah. cependant rien! Ãég Nc pleure pas Hég. Prends courage. J’ai bonne espérance de Erg. Que je ne pleure pas, ce cher enfant! Que mv?} üîj d 1C;_à d8l&m`S· If`;] a qu Jeune • ~ l l ' Je ne fonde pas en larmes, en pensant a cet excel- cali œm une mm 6 ne est r °,°• Je Pcnœ lenejeum homme , qu il me donnera le moyen de faire un echange. · • · I · 1 · à . l · l I S l Hcq. .l’ai toujours reconnu en toi un veritable (rg Qlle Qns es Dœux et munis ES Dœs CS ° . . . . . . . , ll _ ami de mon fils, et ge sais qu’il t’estima1t bien aussi. ve"' em wm E1g..Al1! vraiment! Nous pe connaissons e prix (U mlm! de mmqmmmne Mmmm mm mmm; i (YU!} blëll ([U8 qüâïid DOUS l ZWOUS Perdu- Depuis Pistor slgniiie un boulanger et cia même temps Pistorluises stgmlic que vom ms si ¤a==9¤¤·¤# em le ¤¤··¤m!S· JE l¢î..‘£2‘;E2?E2.]?i.‘Z£î§°â';‘¥.;‘;“';tî.?“i.“‘ï.".f..‘î.î..’§”;‘t:;.'.:‘.ê“..;ti; SGDS l.0l1C C8 (]L\’ll V€ll8|È· JUQGZ (18 ITICS I'CgI`8tSl placenta gateaux, ceux de Plaisance, etc. Erg. Quad ego quidem nimls quam cupio, ut inpetret; Expertus quanti Iuerit znunc desidero. Ido Nam ni illum recipit, nihil est, quo me recîpiam. |2I lleg. Alienus quom ejns inoonmodum tam œgre feras, N ulla juveniutis est spas : sese omneis amant. Quid me patrem par îacere ’sl , quoi ille ’st unicus ? Ille demum nntiquis est utlulesoens morihus; Erg. Alienus ego? alicnus ille?al1, Heglol Quojus nunquam voltum tranquillavi gratiis . Nunquam istuc dixis , neque unimum lntlnxis tuum. Con digne est peter ejus morntus morîbus 125 Tibi ille unicu’st, mihi etiam unieo magie unîcus. tw Ileg. Ego ibo ad fratrem, ad nlios captivos meos, Hey. Laudo, malum quom amici tuum ducis malum. Visam ne nocte hec quidpiam turbaverlnt. Nuno haine honum animum· lîrg. Eheut huic iuud dolet , Inde me conlînuo reeipiam rursum domum. Quia nunc remissus est edendi exercitus. Erg. zEgi·e’st mi , hunc iacere qumstum carcerarlum , Heg. Nullumne interna naetus, qui posset tibi , Pwpter sui gnati miseriam. mîserum www- 130 Remlssum quem dixit , inpemre exmiium? isa · Sed si ullo pacte ille huc oonclllari potèël , Dry. Quid credls! fugitant omneis hanc provinoiam , Vel carnuiicinam hune facere possum perpeth Qual obtigerat, postquam captu’st Pliilopolemus tuus. My- Quis hcic loquiiur? Em Ergo, qui wo mœrore rance- mg. Non, pol, mirandum’st, fugiiaie nam; provinciam. nor, Multis et multigeneribus opus est tibi Mncesoo, consenesco , et tnbesco miser. Militlbus. Prim umdum opus est Pistoriensihus; IM Ossa atque pellis sum mlsera mucrltudine. l35 Eorum sunt gcnera aliquot Plstoriensium; Neque unquam quidquam me juvat , quod edo domi : Opus Paniceis, opus Ploœntinis quoque. Forts aliquantillum etiam quod gusto, id beat. Opus Turdetnnls, opus est Ficedulensibus. Ileg. Ergasile, salve. Erg. Di te bene ament, Hegio. Jam maritumî omneîs milites opus sunt übi. Hey. Ne ile. Erg. Egon’ Lllum non Beam? eg0n‘ nou deileam Erg. Ut sœpe summa ingenia in ohculto latent! loi Talem adulescentem ? Heg. Semper sensi tilio 140 Bic qualis inperator mmc privaius est! ' Meo ie asse amicum , et illum intellexi tlbl. Heg. Babe modo honum animum = nam itlum eoniido domum Erg. Turn denique homines nostra intelligimus bone, ln his diebus me teconciliassere. I Quom , quze in potestate habuimus, en amisîmus. Nam eocum heic captivom arlulesœntem Ahum, Ego, postquam gnatus luus p0|itu’st liositum , i Prognatum gcnere summo, et summis divitüs: t10