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C ne PLAUTE. 11ég. Non, non, j’aime mieux en dépêcher quel-` moi , pour 1non iils , et pour vous tous. (à Philo- . qu'autre, dès que la trève sera conclue : il se char- craie.) En qualité de ton nouveau maître,je t’or· gere de toutes les commissions que vous voudrez. donne de faire exactement ce que ton ancien maître Tgn. Convient-il de lui envoyer un inconnu-? Ce va te commander. Car je t’ai remis en son pouvoir sera peine perdue.-Env0yez·Iui cet esclave qui ar- pour la somme de vingt mines. Son intention est, à rangera votre affaire, des son arrivee : vous ne ce qu’1I drt, de t’env0yer vers SDH père, pour l`en— souriez faire choix d‘une personne plus fidèle, en gager à racheter mon fils, afin que nous puissions qui mon père ait plus de coniîance, qui lui soit plus faire un échange de nos deux enfants. ' I ` ' 'I I I i ’ · · ~ · Ègrvall #3. et il <]¤t ¤ fëmëm Plüs V; Om CPS ÃÉÈTÈ Pin. Je suis prêt a faire ce que vous voudrez de ‘ ' Il ' • . • IS- l\¢01’8lg¤€Z·i`1f?“ 1JC wus TCPOU 5 GB S3 C tc m01|'un et lautre, comme Ia roue qui tourne on Sur ma tête, ot] 31 POM 8¤1`¤Qt_d€ S? ¤¤¤d¤¤î° $0** tout sens, je marcherai selon votre caprice, 0i·don· bou naturel et les égards que _] ai toujours eus pour mm lui ~ . ‘ Hég. Cet heureux caractere doit te servir · , 7 . , e ` mer- [_x€€g£u_Jîâ;'ê‘qgïîîedqï* gîrâs (ge nous qurqns vexlleusement a supporter la servitude, comme il I ’ p ’ ' P B ram;0"' convient Suis-moi ar ici ’ T a' " Tyn. J’y conseus : et je veux qu’il expediel’affaire pour Phélûcmœ ) VEN vétç; bg;]:" q" ’l Prend aussi promptement que possible. T _ ’ d °' Hég. S’il ne revient pas, vous vous ohligez à me y”· 9*1618 VOUS rw S Sr✠de me Pëfmëttre . . . ; I i · compter pour lui vingt mines. (600 f) de dqmœr dr TE nqqvql 88 J TES Parmis DM Ml nm. Fort bien. messager , et d instruire mon pere de ma situation , Heg. (ases esc!aees.)Del1ez cecaptifa I’1nstant, °t de ce que Je Squhimç q‘[' fasü Pm"' K101! (CL démzqes tous deux. Pfnëocmte. )'Tyr1dare, Je viens de convenir avec Tyn.Puissent les Dieux combler vos souhaits, H°g'°“ que I°_t °“"“""*“S eq Lhqe ""lm‘>S_d€ mon vous qui m'h0norez de tout de bonté, et rompez v=r<=·_<=§_·1¤¤_S¤ tu “° revenais P°*m¤ le lw domo- si généreusement mes chaines : en vérité, jc ne suis mm ""¤t m"IqS qqu" m "““‘E°"· pas fâché d’avoir le cou débarrasse de ce vilain PIM- CB fmliei ü m0¤ S•?¤S« est fort bien entendu, collier! car votre pere s’attend a voir moi ou quelqu’autre Hég. Le bien qu’on fait aux honnêtes gens pro- QUIIUI d911¤€ U6 VOS |]0\1V€II€S· duit toujours du bien. Maintenant vous pouvez _ TW- BCÉUW donc bien C8 *]*16 U1 d0lS dire à mon envoyer votre esclave en Élide; donnez vos instrnc- Pere en ü"lf’3¤t· tions; et prescrivez·luî ce qu`il doit dire à votre -"}"·_ ffawanf lv Përsûmüg? de 72/ndaw) Je père. Voulez-vous qucje Pappclle? mûürül ati SUCCCS df! cette affaire le zèle que vous Tyn_ VO;ûmm·S_ me connâlssez 2 comptez, Philocrate, que je vous . servirai e tout mon cœur, de tout mon esprit et de SCENE IH. toutes mes forces Tyn. Tu ne feras que ton devoir Écoute-mo'd n ION, run, c AT . · r ‘ °"C· ÉG 0 R E’ TYNDABE Avant tout, salue de ma part mon pere et ma mère, Hég. Puisse tout cec1 tourner heureusement pour mes parents et mes amis que tu rengonmgms ; Ut is homo redimatur îllei. Hey. imo alium potins misero Mine , uni eruut induciœ, illuc tuum qui convenial patrem , SCENA TERTU" Qui tua, quœ tu miseris mandata , ita, ut velis, perferut. HEGIO , PHILOCBATES, TYNDARUS. iyncl. At nil1ii est, îgnotum ad illum mittere; operam in- m,q_ QUE ,.85 bene vorm mm mœque mm sans MI Vobis ue ' lite h I d , Hunc mitte, hic trunsactum rcddet omue, si illuc vencru. muc vite};him,n2:):|î,î,dÉ;uîcT,Bît,î§êlitg? 360 Nec quemquam lideliorëm, ¤P(I¤¤ QUOI DIUS Cïüdûi, DONS Nam ego te dedi œstumatum huic vigînti minis· Mmere ad cum , neo qui magis slt servos ex sententia, Hic autom œ_ am mmm, hînc wm, nd mmm ’ Noqng ndgo quoi tuum concretlut Iilium llodie 3.\1dû0î¤S· Mgum ut illic rvdlmat filium; muiatiu I N1! VEPQMB. 1}1P0 }>P1‘1¤\|I¤ h¤J‘1$ P30 €¤¤P€1'1¤1‘ î¤<¤· Inter me atque illum ut nostris Iiat üiiis. Frctus ingcmo ejus. quod mo cssc soit orga se benevolum· Phil. Utroqnevorsnm rectum ’stingonîum meom , pas Meg, Miltam equldem lslunc mstllmnîllm U13 iide, si \'iS· Ad le edque iilum; pro rute me uti lice:. Tyrrd. Volo. Vel ego huc vel illuc vortar, quo inpcrabitis. Quam mtissume potest, tam hoc oedere ad factum volo. Hey. Tute tlhi ea tuopte ingenio modes plurimum , Meg. Num quœ causa ’st, quin, si ille huc non redeat, vi· Quom servitutem ita fers; ut ferri dccet. ginti minus 350 Sequcrc. Hem lihi homincm. Tynd. Graiiam habco tibi, 370 Mini des pro illn? Tynd. Optoma imc. Heg. Solvire igium Siilüm olîipiëlm îsttîm mi ètpoteïtotem fncis, ‘ num; jam , Ego o PKTCII is IIUIIC remi tam nulllium , Atque ulrumque. Tynd. Di tilii omneîs omnia opiata adfe- Sql f¤;1g]¤;~idsî1q1g·H:;¤;fn¤g;¤~·q· et que qu "°IIm« rant` 3 I` l I. ' XD l IUC PET (Th . Quom me tante honore honeslas, quomque ex vinclis ex- mmc Im °°"v°"'I.mI°'i me utqœ I“m°* Ty"qa"• 375 imiS_ lit te œsturnalum un Alidem nnttam ud pntrcm; Hoc quidem lmud mulestum 'st jam, quod collus collari:1 îlïgîâïèlagxzch';èIE;T::,£;"? emio carat. ' ' ss i ' . . . . , Nam pater exspcctat nul me nutahqucm nuutium . l i n ·| 1 1 s I · · · 4 [leg Quod ion s beneht he 2 WWII , GYM <\ üë BF¤*1<I*3’j_ Qq; hina nd se veniaf. Tynd. iirgo anrmum advortas volo, b°“'È· _ _ _ *"’ Quaa nuntiare hinc te volo in pzitriam ad patrem, 3,,; Num: U-\ \II¤m SI ïiiû 98 ¤[155¤1'¤$ ·’(Il¢9 · dcmonsiîüv PFWCIPC s Phil. Plillocrates , ut ndhuc loooruru feel, faciam sednlo, Quan nd patrem vus nuntmriç vln vooem Iluo ¤•·| IC`? Ut potissumum quod in rem recle cunelucat luam, Timd. Voua. i VA Id petam , nique perscquer corde et ammo atque virihus.