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mitritch, en passant.
Elles n’arriveront jamais à s’accorder pour le partage. Ô Dieu !
nikita, à Akoulina.
Apporte la liqueur, nous en boirons avec le thé.
Scène XIV
Les Mêmes, ANIOUTKA
anioutka, entrant, à Akoulina.
Eh ! Le samovar va bouillir.
NIKITA
Et la mère ? Où est-elle ?
ANIOUTKA
Elle est dans le vestibule. Elle pleure.
NIKITA
Ah !… Ah !… Appelle-la, dis-lui d’apporter le samovar. Toi, Akoulina, donne les tasses.
AKOULINA
Les tasses ? c’est bien. (Elle prépare les tasses.)
nikita, il prend la liqueur, les biscuits et les harengs.
Ça c’est pour moi. Voilà du fil pour la femme. Le pétrole est dans le vestibule, et l’argent, le voilà. Attends ! (Il prend la machine à compter.) Il faut voir ça… Farine de froment… quatre-vingts kopecks, huile de chanvre… au petit père, dix rou-