nant je réclame toute votre attention. (Tania sort de dessous le canapé et s’empare du fil qui est attaché à une applique.)
Non, ce qui me plaît, c’est cet Espagnol disparaissant au milieu de la conversation la tête en bas. C’est ce qu’on appelle piquer une tête.
Non, attendez. Vous verrez ce qui va arriver.
Je ne crains qu’une chose, c’est que Vovo ne se mette à grogner comme un pourceau.
Le voulez-vous ? Je vais m’y mettre…
Messieurs, je vous demande de garder le silence ! (Silence. Sémion frotte ses doigts et les agite.) De la lumière, voyez-vous la lumière ?
De la lumière, oui, je vois, mais permettez…
Où ? où ? Ah ! je n’ai pas vu ! Ah ! je vois, eh !…
Voyez comme il vibre. (Il montre Grossmann qui s’agite.) C’est l’influence binaire ! (On voit encore de la lumière.)
Mais, c’est lui !