Page:Tolstoï - Œuvres complètes, vol3.djvu/189

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cet acte excita en eux une grande estime pour la simplicité et la richesse d’Olénine.

— Tu sais, cet officier qui est chez Ilia Vassilievitch, il a donné à Loukachka un cheval d’une valeur de cinquante pièces. C’est un richissime — disait l’un.

— Oui, je l’ai entendu dire, — répondait l’autre, d’un air profond. — Il lui a sans doute rendu quelque service. Nous verrons, nous verrons, ce qui en sortira. Quelle veine pour cet Ourvan !

— Quel diable est ce junker ? C’est un malheur ! — disait un troisième. — Pourvu qu’il ne mette pas le feu ou ne fasse pire encore.