Page:Tolstoï - La Puissance des tenebres.djvu/127

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AGTE lil 1?,9 placer aussi son argent. ? Eh bien I que tu dis, on peut. ? Et tu attends. Vets l'?t?, je reviens de nou veau: (< Donne-moi, te dis-je, encore un billet rouge; je te revaudrai ?a... )? Et voila que tu t'informes si ma peau n'est pas encore route arrach?e; et si on en peut encore tirer quelque lambeau, alors tu me donnes Fargent d'&nissia. Mais si, par exemple, je n'ai plus rien du tout, pas m?me de quoi manger, aiors tu r?fl&his, et royant qu'il n'y a plus rien ? gratter avec moi, tu me dis: g Ya-t-en, fr?re, avec Dieu I ? et tu cherches quelque autre ? qui donner ton argent et celui d'Anissia, et tule d?poui!les pareillement. -- Et voila co que c'est qu'une banque; voila comment elle fait ses affaires... Untruc, mon fr?re, intelligent. AKIM (s'?chauffant). Mais qu'est-ce donc? Une infamie, pour ainsi dire, ...tai6... tanto I Les moujiks... tail... qui font cela, ces moujiks eux-m?mes, pour ainsi dire... tail... le considbrent comme un p?ch? ? (?a... tail..., pas con- forme ? la 1oi, pas conforme ? la loi, pour ainsi dire: c'est une infamie. Comment donc, alors, les savants ... tail... ? Cela, ?noa rL'?re, c'est lour plus chbro occupation. Me?-toi bien ceci dans la t?te: les gens pas tr?s entendus, ou ies babas, qui ne peuvent elles-m?mes Digitized by GOO(E?[e