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« Nous nous aidons mutuellement ; si nous travaillons pour nos frères, à leur tour, ils partagent avec nous les fruits de leurs travaux. »
« Si, par hasard, vos frères acceptaient vos services et ne vous donnaient rien en retour ? » insista Julius.
« Nous n’avons pas de telles personnes parmi nous. Celles-là ont le gout de la vie de luxe, et ce n’est pas dans notre colonie qu’elles viendraient chercher la réalisation de leurs désirs. Notre vie est simple, sans luxe et à peine confortable. »
« Oui, mais il existe toujours un nombre assez considérable de paresseux qui ne demandant pas mieux que d’être abrités et nourris aux dépens des autres. »
« Il est vrai, qu’il y a de telles personnes ; nous les recevons comme les bienvenus. Der-