Page:Tolstoï - Zola, Dumas, Maupassant.djvu/204

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
186
ZOLA, DUMAS, MAUPASSANT

sonnel ou de celui d’un groupe, mais bien dans la soumission à la Volonté qui a produit l’homme et l’univers, pour atteindre non pas un but humain, mais celui de cette Volonté.

De cette relation découle la doctrine religieuse la plus élevée qui nous soit connue et dont les principes se retrouvent déjà chez les pythagoriciens, les thérapeutes, les esséniens, les Égyptiens et les Perses, chez les brahmines, les bouddhistes et les taocistes, dans leurs conceptions les plus élevées, mais qui n’a reçu sa pleine et dernière expression que dans le christianisme pur.

Toutes les religions possibles, quelles qu’elles soient, se divisent donc en ces trois relations des hommes avec le monde.

Tout homme, sorti de la période animale