Page:Toulet - Béhanzigue, 1921.djvu/87

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— Allons, Christine, un dernier baiser.

— Encore un, mon René chéri, le dernier.

Brusquement, elle s’arracha de ses bras et prit la fuite. Immobile, il la regardait se perdre dans le brouillard, comme un de ces oiseaux de passage dont elle avait parlé. La reverrait-il jamais ? Il soupira et se hâta vers sa demeure.