Page:Toulet - Mon Amie Nane, 1922.djvu/187

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à nous, capricante, menue, les yeux luisants comme deux gouttes de café. Elle s’assied tout contre moi : sa robe, exacte aux hanches, me défend mal contre le toucher d’une chair étroite et dure.

— Je ne veux pas, me dit-elle à l’oreille, dîner avec ces mufles-là... Vous tout seul...

— Dans un fauteuil ?