du fiioaDa^age au^moD(^raiiuDie <n raimdaçfl sur ceUe^i l’inscription CABLVS- REX. FR., par jCAplVS. REX.
Je ne range plus volontiers k ropînioD de ce nglBJymatB, ^’sprès !««. prenTfl^ dtnt il l’a étayée-, qu’à celle de’ Çembroote. On rencontra txçiê autres pièces d* Cbarlea-Ie-Cbauve, frappées k Rennes, dont l’une es£ en la ppssessioi) de M- te comte de Kergbriouj l’autre, entre les mains dç H- Ramé, «t -la troûiëme dans c^es de H. Saavage. CfiARUS II Dit LK CHADVf (840).
(AR.) Ijloiio^anime indéterminé ; autour’ GRATIA DEI RfiX. — B. l’ne croix pâtée ; jiutour P£I)ONIS. C-XAS.
(AR.) Uo Dogranune de Charles, copiposé des lettres K. R. t- S. ;, aatour GRATIAp-I BEX, — R. Une croix pâtée an ni^eu ; autour VBBS REDONIS (inédite).
(AR.) Monegraïqmede Charles ; autour ALA.. RIA. (dans eette légende barbue les lettres semblent avoir été transposées.) — R. Croix pâtée ; aotonr fiÇpONIS.. C-TAS ((r^*rar«).
Ces monnaies frappées- k Rennes, se reconnaissent : l<*’à ae que le mol. REIK>NIS est sans U, tandis qoe les lOonéUires francs l’écrivaient avec cette dernière aspirée, sa craiformant çn cela k la manière gutturale dont ils {HTODonçaient ce iu»n ^e ville i 2° surtout h leur barbarie bien plus grandé-que celle. de& mém* !S pièces franques Cabriquées dans le centre de la France ou il Melle, Poitou.
ÉPOQUE capétienne ; o» CIPÉVINGIENIVE
ou
tnUihtc fiatt.
Presque toutes les monnaies qui furent découvertes appartenaient à cette époque. Cettes Boiée» furent, d’après l’ordre de leor’ ancieuiteté, les suivantes :