Page:Toulmouche - Histoire archéologique de l'époque gallo-romaine de la ville de Rennes.djvu/172

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2’ Uae autre épée en fer, d’anê longueur totale dé 68. centimètres, et de &7 ponr la tame, d6nt la largeur vers la {toignée était de S ^ elle est dessinée rédaite au huitième (Fig. 2 de la pl. VI).

Des fers de cheval, réduits dembîtié (Fig. 3 de la pl. VI).

Un moule en schi^e ardoise, desUné à fajre, d^ médaiiUojis ii j6ur de saint Georges, doDtj’âi donné la description^ lapage 148 de’ c^ ouvrage, et dont on voit le dessin (Fig. i de ta gi. Vp.

Un sceau en cuivre de queltpie monastère, sior leqneL qd lit seiilemeiit S... HONASTËRII..S..., tandis que le reste des lettres était efbcé. Il fut découvert peu loin du pont Saint-Germain. (Fig. à ef S &ti de la pl. VI).

Un christ en plomb d’une fabrique grossière, pouvant remonter du iiii* an xiV siècle ; (Fig. h de la pl. VII)’, «pie je crois avoir été imité par des fondeurs bretons, de mod^es byzantiiis,.ou en ayant retena’le s^le,. conime on voit encore aujourd’hui nos joailliers jcoasérver aux bagues qu’ils, vendent aut paysans, nae groMièreté de fabrication et une ancienneté d’ornementation qù’ot retfoure dans celles de l’origHie la- plus gothique, et leS’ ouvriers actuels reprbdoire tradîtionndiement les mfimes qualités dans une foide d’anVe» objets à l’usage des’genç de la campagne, qui tenant religieusement aux’nftiges de leurs pères’ repoussent toute innovation oiD tout perfectionnement (I).

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  1. Il al tien vrai que ce christ, par son style grouier, ses membreigrtles, et s’a pose, rtppèle toDt i fait la maDtËra que cantinuèrent les arîiftee byiantins, nton pat jusqu’au XI* siècle seulement i corupie le dit le savant Viscoqti, mais juiqu’àu’xiii’,’ ainsi que leprouveQt les cbtases bien classées qui sont du xii^. Cependant je. le -crpb moins ancien. Je m’empresse, n^anÂioins, de nelfresdus !«« yeu^ du lecteur, la note înterêssanle ci-aprà, relative kceaujet ; qu’a bienT«iila ma communiquer M. J ;. Auwaat. ’ . Lé.chevalier Joseph Bard.-metnbre de la poQtiBcale* Académie d’archéologie, dans set recherohes anr le* premières leiirésentation» du crucifix, dit : que la croiv ne commenta I Stre tédèréo, comme symbole, qu’après qu’elle e&l été arborée par Constantin, et qu’elle.fût adoptée, comme signehiératique^ mais nue, c’.est-i-dire, sanschrist.SuiTantIuî, l’idée du Sauveur crucifié fixa peu les premiers Chrétiens’, et ne fut jamais reprétentée par l’aFlitte des primiiibj’otars de rEgKse...’A Rome, dans les Catacombes, pas une traoe de Jésus-Chhst en croix^ L’abaence de crucifix dans