Page:Trevoux - Dictionnaire, 1721, T02, E-F.djvu/191

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à ’ordlnl.ir.e. sep : ttêl : par des p9reaux> ~ ~.~~elie~ ; Ül), peu JUé ; & qui eR : au~èlf~Jusdu dhev~liéu,Eqtttl ; : ! N5isistoitt"’~t-oer1 i-’-c___ élev~e ; & ; en ·pente. La mangeoire &·kra~effet.~ : n ocÇijpent soli ! ifçr. Onafaidarechèréh~4ès.l>loblas : S&oriafaitdesiaxe : la longueur. Equise, eqiU1111,-. pr.stepe, cflabM(IIm. Les ’, lieux où sur. d’DX qùl.avoient usur~darql !.alité d ! Et-_,6. On.llolr J’on met des animauxont-de, s~n ! lms partiossilles J ils s’app ! silent.aussi· ; au~c : fois·EciiJ.~I ; ; • les, j~nes ·~w :s..~qlii·n~~oie ; nt.pas écuries quand ils se ! rvent pour chevaux> m’ ! liè~S :..I ! ce ;. erables. encom ; f. ! I~Cileva ! Içr, s.1 Qil.ptctendqŒanÇICJIDemeôd ; t’quiùité q>n’est ils ne font que pour des bœufs, vaches, ll)OUrons, ·cochon~, : de Noble n’étoitpas inférieure à celle d’Ecll]lr., laquelleh’ap~é~ &c. Er chenits pour les thiens. LA Qu· 1 NT, ’{,.es plush ! ’lleslf~~ : valu qJJe depUis-.deuxftécle~.llOrdonnànCè : de Blois à l’sont& ries sont voûtées. Une sentiefunple, est celle qui n’a qu’u~ tilng I 579· est la~causere qdi airfaitllièntionde·la qualité d’Eclisir de chevaux. Une écussedoub.~e. est celle quiàdeux CUI~S de che.com ~pe un.titrede Noblesse :.,


vaux, av~è un ~stag~ au ~ih~u, ou.-v ce deux passage.s,-~es : Pasquier_p ! ’éten41léanmp~.dtiRS ses Recbarcbcs.L ; H. s. f. 5 _- que

chevaux etantrete à soie ~edatrez en, aQuppe ; comme lapeme le estre d’E ; ’user : dt stès-anci.en ; que ; dès le tems de la décaécurie de Vèrfailles.


denee de l’Empire Romaut.inil.Y e. ut.deux. fo.rtcsde gèn.s de. guer-On comprend quelquefois fQus le nom d’éc~ie·lcs.logem&IlS c : l.es se, dont les uns fùtentippeUez Geptik, &.les autres ·E"9érs Écuyérs, Pages, gens de livrées, &c. Chez le Roi il y a la gran-Ammien-Marcellin L. XIV, c. 7• &. L. XVLC4••en.parle conuli. ; de & la petite Ecurie. La petité Eossaie arté tÎrée de la grall<le : de gens que l’on craiguoit, & que l’onriigacdoitcmrune’inviu-elles ne faisoient autrefois qu’une seule écurie. Dans la grgJ~ de cibles, Ile

l’ApoJI : atfaifoitgrandCàSdeces troupes·, pÏ : n-Emrie font les chevaux de guèrre

&dansh

dant

dans }cs Gaules. De là vint daf !s la fuite queles.,,.

rite Ecurie font les chevaux de

peuterce seulement les François, ayant vt1 que Des Pages, des Valèts de piéd

les

des troupes Romaines s’appelloient· Gentils & L’leurie de ce Seigneur dl :.bien g~r ! : ; ~r~~f~r~’ : ··feu.lenoen.r un Ecu7érs, ils<ionnèrent auRi ces deux noms.ailx.plus belves dans Ce mot vient de scoria, qui a,Il’autrefois.n.on leur.s armées.


lieu où ott retire les animaux,,, ma !s encore une grange Cet_RQt·vient_du Latinsi : utM111, ou~ si : ut~ÎIII. foutign, ou foubat le grain. MÉN. Ou bfen d11l.atin ~qui se, par le change. tifer, àcausequelesEcuJérsportoientl’ecudesCIJevaliérsdans · ment desl en r.


les behour·s·.&.to.urnois. Q ! tesques·uns disent que ce npm act~. •

☞ eu R rE, signifie auRi l’équipage quhnarchc averse Roi. L’E. donné aux. Gentils’hommes à-l’imitation de- quelques br : l.ves curie marche en ce voyage. On a fait partir·~vant l’Ecurie. Le Compagnies de soldats Romains, qu’on nommoit Gemills.’& T résorier de l’Ecurie paye la dépense des Pages, des gens de si- Scutarii fqr le déclin de l’Empire, do.nt parle AmmienMarcillin. vrée, des chevaux., mulèts, carrosses& charrois. É f c’u.Y É1, est auRi le Gentil’homme se ! rvant d’un Chevalier, É

☞ U

☞ ON. [. m. Tènne de Blason. Écu chargé d’Armoiries. qui l’accompagne à l’armée Ile en toutes.lès entreprises. Celui· L•urcultu, tef{er~ gentilitùe, scutum minus. Ir se dit particuliè-- qui porte son bouclier, se, tllm, d’où s’est fait scuti[et ;. qui el ! : sement d’un pe1iitÉcu, quand on en charge un plus grand. Un le nom Lann de cetOLiicier, d’oû le nom l’eau~is s’el ! : formé. el : uf{on en ab une, qui est feu ! au milieu d’.un Ecu. Une croix par corrupt1on. On l’appelle. auRi Armigtr, tiarcequ’il.porroit cantonnée de quarre réussons, &c. Les écussons en Éfp4gne font non seulement le bouclier, mais auRi les autres armes de son ronds par le bas, au lieu qu’en France ils se tèrminent par une Chevalier. Au rell : e, on prétend que ce nom vient- non seulepetite pointe.

ment descutum, écu, bouclier ; mais encore de·scuri~t, Écurie, L’un des Capèts pottr bonom son nom, parce1ne les&uJeTsavoient auRi foin de l’Écurie desshevaliérs.- ! ’A de trois fleurs de lis doté son écusson. B 01 L. Tous es Héros de Romanétoienttoûjours suivisdeleur Ecusir. Don’l Quichote même avo~cho Pallà pour son Eeuser. Emf[on se disoit autrefois d’une forte d’écu pointu par en bas, dif- Ce mot ne vient pas d’écu, scutum, comme ont cm quelqu~ férent de l’écu quarré, que les Comtes, les Vicomtes, & les uns, maisdeliquus ; & ceux-ci s’appelloient autrefois EquJers Barons, pouvaient seuls porter en guèrre : ceùx qui étaient en Latine qui{ones, Ile avaient foin des écuries seulement.· ’

d’un rang inférieur parmi la noblesse portoientl’icuffon. feu Y É1, se dit auRi de celui qui tient une Académie, qui se mot vient du Latin scutum.

fçait fort bien le manége, qui enseigue aux jeunesGentils’hom-Les Ouvriérs appellent aussi réussons, ces platines de se : r.ou d’autre mes.l’art de bien mani.er les cbeva~x, &.. le les ~relfer.,.Equ~ méral qui Jèrvent à orner les heurtoirs des portes, les boutons, domttur~ curator, magister. On a mis ce JeuneScrgneur drcz un les entrées des serrures, &c.

fort bon E•·u ; er.


’{eu {soN, en tèrmes de Jardinage, est une manièred’ente fort fin & de : bOnne commune aux sardiniérs. Scutulas, emplaftrum. ne grâce, qui se connoît b~II ! ! Cn chevaux, que c’est un bon &11Jir< ses que deux fortes d’entes, en fente, Ile en écusson.

On dit aussi d’un homme qui se tient bien à cheval & de bonne grâce, qui se connoît bien en chevaux, que c’est un bon Ecuyer. Peritus equitandi. On dit aussi d’une femme qui monte hardiment à cheval, que c’est une bonne Ecuyère.

manière d’ente, mais c’est un œil levé de dessus une Éfe u YÉ A 1 se dit auRi de ceux q111 ontleforn, legouvèmeniert _

de l’année à l’aide d : ulnpe : t~t.ÇP9·~1l..’si~P !

WilCL~ : ultwlCli{.• J.~ : s0 ~~.· Roi ~Hil. PQUœ.- Shfbtdi ~gijltr ; -cita ·11 : - ’--- : ~’· Cet œil s’éléve en formant une

Roi le Gr.t ! d’EtUctT, qu’on nomme absoument Moi{leflT le ·

duquel est l’œil, & dont la pointe est tm’ljours en Grand, posil. de une des préinièreschargesde la Coqronne. Cetcet (cuf{on se l ; : ve en coupant l’écorce tout autour de te charge est un dé me mot mél ! t de celle de Connétable. Cornes me d’icuf{on, à ont ! > pointe est au dessous de l’œil, & la face ftàbuli, qui avoit la surintendance des’·Écuries du Roi : ce gui au ddfus. Ce petit morceau d’écorce que. !.’on Cet, are d11 bois, paraît, en ce qu’il porte comme lui deux épé~s à c&é de l’Écu &, i>U milieu duquel est l’œil, est ce qu’on app, : l’e écussots, parde ses Armes, avec cette différence que celles dû Connétable ce qu’}l fn a la forme. Greffer en écu]son. Cet lcuffon est repris, font nuës, &celles du Gr~n~d20 décembre 2021 à 22:43 (UTC)dan~ ; s~ ; i~ : ~-20 décembre 2021 à 22:43 (UTC)~~ Lrc"R.

! ours semé de Bours de lis

É f c’u { s’oN, en t~mes de Médecine, se dit des fachèts pjéquez fait mel ! tion du ur,-un.t :.(Usel où on enfênne plufteurs ·poudre~ Ile remédes > mêlez af~c du sement des Grands ·c_ çorron entie deux toiles, ou taffetas ? qui représentent un stuf- pe le Long en r ~ son assez grand pour couvrir l’est omac sur lequel on·.~es. a_ei>si- tons les Oquesérs des


que,Empl•strum se.uttllatum. Quelquefois onàppelle-écupom, ge lui <lenne

~emplâttes1l : omachiques étendus sur une pea1,1. de chevreau · gran, de, "’de la.petite

,.

couvèrce d’un taffetas fa~onné en lcuffon. ·.

pende !)~ Il ordonne des

ÉfC UfSOnNER. v. a~ Enter en écusson. C’est, Ouvrir l’é- grande t~cause., &.deroutes corce d’un arbre d’une manière ressembJante à un peut écu, titêÉcàrie

☞ es·poŒes’& ses pour ·y inlèrer l’ente ou la’grélfe fort prçprement. Inferere..,.. <isandEÇMJfT ~-~n’en on~~ré


plaftrum, scutulttm..


rilV. Aux P~e ! lJiÇres ener~,.

Efcyfs onN~, É E. p~ paa : & 1dj. InjintiumpJ#lr ;.., ! ’ou lès villes


. EfCUfSOnNOIR. {.ni,~ nsine de

pointu, qui a au bout. de son