Page:Trueba y Cosío - Gómez Arias, Tome 1, 1829.djvu/11

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
viii
préface

de mon talent novice, de mon inexpérience dans la carrière littéraire, en y joignant cette longue suite d’et cœtera avec lesquels un écrivain ouvre en général sa première campagne.

Le public n’a aucun besoin de ces excuses fatigantes, qui ont au moins le tort de n’être pas sincères ; il suffit d’être doué d’une médiocre dose de bon sens pour supposer qu’un auteur ne pense pas un mot des accusations qu’il avance contre lui-même. En publiant un ouvrage, si un