sionnaires catholiques, le Temps et ses partisans répondaient qu’il était plus avantageux pour nos colonies de leur prêcher le Bouddhisme et l’Islamisme !
L’expérience est faite : les marabouts soufflent la haine et la révolte contre nous, et avec elles le maintien du trafic humain.
A l’action civilisatrice de l’Évangile, on a substitué le fanatisme musulman, et les peuples fétichistes, au lieu de devenir meilleurs par le christianisme, sont devenus pires encore sous l’influence du Koran !
Telle est la conséquence logique à tirer des aveux du Temps !
Va-t-on enfin renoncer à cette tactique qui fait servir l’or et l’influence de la France à créer, dans nos colonies, des races d’ennemis fanatiques ; laissera-t-on pleine liberté à nos religieux missionnaires qui mettent au cœur des sauvages, avec la lumière de l’Évangile, l’amour de la France ?
Nous voudrions le croire, mais nous n’osons l’espérer. Les sectaires français sont de la race de ceux qui ont dit : « Périssent les colonies plutôt qu’un principe. » Leur principe suprême, c’est la haine du Christianisme, et, même dans nos colonies, en dépit des faits palpables qu’ils ne peuvent nier, ils continuent à répéter leur