Page:Vadé - Œuvres de Vadé, précédées d'une notice sur la vie et les oeuvres de Vadé - 1875.djvu/177

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Et puis vous savez d’queu bois
S’chauffe c’Monsieux d’Maillebois ;
Convenez qu’ça fait des vivants
En fait d’bravour ben savants.
Croyez-moi, ne les obstinez plus,
Car sans ça vous êtes fichus.


X

Sur le même air que le précédent.

 
T’nez, Monseigneur d’Orlians,
Vous qu’êtes ici ceyans,
Vous valez cent fois mieux
Que tous les dieux ;
À c’mencer par Jupiter,
Et son frère qu’est dans l’enfer,
Et stilà qu’est dans les yaux
Pour faire enrager nos batiaux,
Et puis st’autre grand farbriqueur de combats
Qui met tant d’pauvres chrétiens à bas :
Stilà qu’a d’zaîle au talon
Est un fripon.
Monsieur Pherbus
N’donne que des rébus,
Et ç’morveux d’dieu beau comme le jour,
Nommé l’Amour,
Ah ! c’est encore un p’tit animal
Qui n’se plait qu’à faire du mal.
Mamsell’Junon
Fait la guenon,