Page:Vadé - Œuvres de Vadé, précédées d'une notice sur la vie et les oeuvres de Vadé - 1875.djvu/268

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Fanchonnette.
Air : Reçois dans ton galetas.

 
Écoutez donc, (à part). Ça m’fend l’cœur.

Jérosme.

Eh ! ben ! parlez, j’vous écoute.

Fanchonnette.

Soyez plutôt d’bonne himeur.

Jérosme.

La vie n’a plus rien qui m’ragoûte.

Fanchonnette.

Vivez, marignier libéral… Cadet, Cadet ! eh ! Cadet !

Jérosme.

Quoi donc ! vous ap’lez mon rival !

Air : Ah ! mon Dieu ! que de Jolies dames.

Oh ! pour le coup j’me r’tire.

Fanchonnette.

Jérosme.

Jérosme.

Jérosme. Ah ! j’vois tout.

Fanchonnette, à part.

Ah ! j’n’en peux pus, j’soupire.
Cadet !

Jérosme.

Cadet ! Vous m’poussez t’à bout.
Mon rival vous plait ; ça veut dire
Cadet ! Qu’je n’suis pas d’vot’goût.

Fanchonnette.
Air : Il est tout d’travers.

 
Mais vous prenez ça tout d’travers.