Aller au contenu

Page:Vallory - Un amour vrai.pdf/159

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

pour celle-là que des sourires… Oh ! n’envions jamais les joies que nous voyons apparaître à la surface de l’existence des autres, nous ne savons pas quel ver les flétrit. Heureux sont ceux qui aiment ou qui ont aimé ; ils trouvent toujours du courage au fond de leur cœur pour les heures de l’adversité.

Hélas ! que de gens meurent sans savoir ce que c’est qu’aimer… et souvent l’on dit de ceux-là qu’ils ont vécu, qu’ils ont beaucoup vécu ; je crois plutôt qu’ils n’ont pas encore commencé à vivre.

FIN.