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L’ADIEU

Le soir fraîchissait dans les roses. Inquiets de troubler ce charme défaillant, Des êtres inconnus, voluptueusement, Atténuaient les choses De voiles hyacinthes, semblables à des mers. Tout s’effaçait en un calme silence. Et devenait l’imperceptible hier. Des choses qui mouraient paraissaient immortelles, D’autres, languissamment, s’exhalaient dans le ciel.