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MISÈRES




I

MISÈRE LÂCHE

À mon ami Gustave Frédérix.

I

Il était tombé dans ce ménage un beau soir, en haillons, manquant de tout. On l'avait accueilli par pur respect humain, parce qu'il ne savait où aller, qu'il était sans ressources, n'ayant à Bruxelles aucune relation : Mme Looze se trouvait être sa seule parente.

Il arrivait de loin, de pays exotiques, inexplorés, dont on n'avait pas une idée bien nette, et, en dernier lieu, de quelque grande ville des