Page:Variétés Tome VI.djvu/122

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À monsieur de Fourrilles89, deux mil livres.

À monsieur de Campaignolles, deux mil livres.

À monsieur de Formagères, deux mil livres.

À monsieur Tilladet, deux mil livres.

À monsieur de Meux, deux mil livres.

À monsieur de Bourdet, deux mil livres.

À monsieur de la Salle, deux mil livres.

À monsieur de Bourg, deux mil livres.

À monsieur de Nangy, deux mil livres.

À monsieur de Goaas90, deux mil livres.

À monsieur de Grandpré, deux mil livres.

À monsieur de Castellier, deux mil livres,

À monsieur de Grandpré, deux mil livres.

À monsieur de Livroux, deux mil livres.

Pairs de France, Clergé.

À monsieur l’evesque de Noyon, douze mil livres.

À monsieur l’evesque de Chaallons, dix mil livres.

À monsieur l’evesque de Laon, dix mil livres.

À monsieur l’archevesque de Rheims, douze mil livres.



89. Il fut plus tard lieutenant-colonel du régiment des gardes et grand maréchal des logis. En 1641 il avoit cette dernière charge et recevoit 2,000 livres, plus 4,000 auxquelles il avoit droit « pour la pention qu’avoient ses prédécesseurs et qu’il avoit acheptée avec sa charge. » Le premier, selon Mme de Nemours, il démêla les bonnes qualités de Louis XIV. (Collect. Petitot, 2e série, t. 34, p. 305.)

90. C’est lui qui, au siége de Montpellier, en 1622, eut une querelle avec M. de Marillac pour une sentinelle de sa compagnie que celui-ci avoit frappée. V., à cette date, les Mémoires de Puységur.