Page:Vasari - Vies des peintres - t1 t2, 1841.djvu/183

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
167
GADDO GADDI
NOTES.

(1) Dans l’édition des Gîunti, on lit Fra Francesco, mais on doit dire Fra Jacopo. Voyez le Baldunicci, dec. II, sec. 2, page 41.

(2) Ces mosaïques n’existent plus.

(3) Gentile de’Becchi d’Urbin, évêque d’Arezzo, de 1493 à 1497, fut le précepteur de Laurent de Médicis.

(4) Voyez Theatr. Basil, pisan., chap. 7.

(5) Ce tableau a disparu.

(6) Voyez les détails que donne sur l’origine de cette église Fra Modesto Bigliotto, dans sa chronique, chap. 7.

(7) Quelques auteurs l’appellent Fra Sisto. Voyez le Cinelli, page 237 des Bellezze di Firenze.

(8) Vasari se trompe ici. Il n’y eut jamais à Arezzo un évêque du nom d’Aldobrandino Cavalcanti. Aldobrandino fut le trente-cinquième évêque d’Orvieto. Il posa, avec le cardinal Corsini, la première pierre des fondements de Santa-Maria-Movella.

(9) Le Passavanti, auteur du Specchio di vera penitenza, est un des plus élégants et des plus purs écrivains italiens.

(10) Giovanni Villani, liv. 7, cap. 56.

(11) Dans l’édition du Torrentino, Vasari rapporte à la fin de la vie de Gaddo Gaddi l’épitaphe suivante :

       Hic manibus talis fuerat, quod forsan Apelles
           Cessisset, quamvis Græcia sic tumeat.