Aller au contenu

Page:Vatsyana - Le Kama Soutra, 1979.djvu/252

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

ornements, doit se tenir assise ou debout à la porte de sa maison, et sans trop se mettre en évidence, elle regardera dans la rue de façon à être vue par les passants, attendu qu’elle est en quelque sorte un objet exposé en vente. Elle formera des amitiés avec telles ou telles personnes qui pourraient l’aider à brouiller les hommes avec d’autres femmes ; elle se les attachera en vue de réparer ses malheurs, d’acquérir de la richesse, et de se garantir de mauvais traitements ou d’insultes de la part de gens à qui elle aurait eu affaire de façon ou d’autre.

Ces personnes sont :

Les gardiens de la ville, ou la police.

Les officiers des cours de justice.

Les astrologues.

Les hommes pauvres, ou intéressés.

Les savants.

Les professeurs des soixante-quatre arts.

Les Pithamardas ou confidents.

Les Vitas ou parasites.

Les Vidushakas ou bouffons.

Les marchands de fleurs.

Les parfumeurs.

Les marchands de spiritueux.

Les blanchisseurs.

Les barbiers.