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Page:Vatsyana - Le Kama Soutra, 1979.djvu/299

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d. Perte d’un côté, et doute de pain de l’autre.

e. Doute de gain d’un côté, et doute de Perte de l’autre.

f. Doute de perte d’un côté, et perte de ‘autre.

Une courtisane, après avoir bien considéré tout ce qui précède et pris conseil de ses amis, doit agir de façon à s’assurer du gain, des chances de gros gains, et des garanties contre quelque grand désastre.

Le mérite religieux et le plaisir peuvent aussi faire l’objet de combinaisons séparées comme celles de la richesse, et tous les trois seront ensuite combinés l’un avec l’autre, de manière à former de nouvelles combinaisons.

Lorsqu’une courtisane a commerce avec plusieurs hommes, elle doit tirer de chacun d’eux de l’arpent aussi bien que du plaisir. À des époques déterminées, telles que les festivals de printemps, etc., elle fera annoncer par sa mère à différentes personnes que, tel ou tel jour, sa fille passera son temps avec l’homme qui satisfera tel ou tel de ses désirs.

Lorsque des jeunes gens l’approchent tout ravis d’aise, elle doit réfléchir à ce qu’elle en peut tirer.

Les combinaisons de gains et de pertes de tous côtés sont : gain d’un seul côté, et perte de tous les autres ; perte d’un seul côté et gain de tous les autres ; gain de tous côtés, perte de tous côtés.

Une courtisane doit aussi peser les doutes sur le