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Pour être seul à travailler
Dans le fournil ou le grenier,
Quand, l’autre s’oubliait à reposer encore.

Ainsi
Leur bien grandit,
Grâce à leur âcre et morne souci
D’être toujours, sans défaillance et sans merci,
Et de vivre, durant des mois et des années,
À mâchoire fermée.

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